Brenda, la fiancée d’Oluf, refuse les avances de ce dernier, sous prétexte qu’il est toujours accompagné du chevalier à l’étoile rouge, celui qui importune leurs rendez-vous d’amour.

Conséquences : une nouvelle quête, donc un nouvel obstacle à surmonter.

La tempête se déclare pour empêcher notre héros à atteindre son objectif. S’annonce de surcroit, une spirale de corbeaux. Le meneur de cette bande d’oiseaux de mauvais augure n’est autre que le « corbeau de jais » du maître chanteur. Pourquoi le bohémien est-il de retour dans la région ? Veut-il empêcher le mariage de « son enfant » ? Compte-t-il « charmer » Oluf pour l’emmener avec lui ?

Le fantastique s’incruste ici sous l’apparence d’un chevalier qui ressemble bizarrement à Oluf et qui bloque la route à la quête de ce dernier. Après un duel acharné (par les coups d’épées assenés) et étrange (car Oluf ressent dans sa chair les coups qu’il assène à son ennemi), le chevalier à l’étoile verte remporte le duel et comprend enfin les allusions de Brenda concernant le compagnon qui ne le lâchait pas.

Le Bien a gagné et le personnage principal peut dorénavant aimer et être aimé.