A- Emploi de la « terreur »

1/ La pauvre Edwige a le cœur percé des sept glaives de la douleur. Un terrible secret pèse sur son âme.

2/ Un étranger est venu au château. Il fait un terrible temps cette nuit-là : les tours tremblaient dans leur charpente, les girouettes piaulaient, le feu rampait dans la cheminée…

3/ Ce regard et ce sourire vous glaçaient de terreur et vous inspiraient l’effroi qu’on éprouve en se penchant sur un abîme.

4/ La noire terreur habite dans cette forêt […] Mais Oluf ne connait pas la terreur.

5/ Les chevaux se portaient des coups terribles.

6/ Ramassant ses forces, Oluf fit voler d’un revers le terrible heaume de son adversaire.

7/ Ô terreur ! Que vit le fils d’Edwige et de Lodbrog ? Il se vit lui-même devant.

B- Autres expressions

1/ Edwige craignant dans son cœur de mère que ce fût la rouge.

2/ Seigneur Oluf, que vous avez tardé ! J’avais peur que l’ours de la montagne ne vous eût barré le chemin…

3/ Fenris et Murg s’arrêtent subitement : leurs naseaux mobiles hument l’air avec inquiétude, ils subodorent la présence d’un ennemi.

Degrés de la peur (du plus fort au moins fort) : la terreur, l’effroi, la peur, la crainte, l’inquiétude.

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